Les Amis du Champ des Possibles

C’est deux douzaines de personnes qui ont répondus à l’appel au nettoyage. Parmi celles-ci, cinq d’entre elles sont devenus AmiEs du Champ des Possibles dont nul autre que Philippe Heine, nouveau membre du Conseil d’administration après l’Assemblée générale générale du 5 juin.

 Compte tenu du nombre de l’activité des Sept Castors, nous avions envisagé que nous aurions pu avoir à composer à un problème de main-d’oeuvre. Pour cela, nous avions mis la priorité sur certains endroits afin qu’après notre passage, le Champ puisse avoir l’allure d’un endroit qui a été nettoyé. Certains de ces endroits étaient plus sale que d’autres.

L’image ci-dessus montre quatre de ces endroits. On se souviendra de la corvée annuelle 2011 alors que le gros des troupes s’était concentré le long du bâtiment Le Carré de Gaspé. Encore une fois, des gens s’y sont attelés mais cette année, il y avait beaucoup moins de déchets (comparativement à l’an dernier) et l’ancien débarcadère a été la cible de nos efforts. La quantité de déchets retirés de cet endroit est phénoménale ! La variété aussi comme le montre la photo ci-dessous. On a aussi enlevé le plus de verre brisé que l’on pouvait. Le cône de la photo, sur le centre-gauche, objet de plus de quatre pieds de haut nous a servi de contenant et il était presque rempli. On a également récolté plusieurs pneus, du matériel électronique, de la peinture et beaucoup de bouteille aérosols.

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Du côté des Sept Castors, l’achalandage leur a plu… même si celui-ci n’a pas été autant que le nôtre. Il s’étaient installés sous les peupliers et, le beau temps étant au rendez-vous, leurs discussions ont eu lieu dans une atmosphère des plus agréables. Emily, la maître-d’oeuvre de ce symposium avait construit ce bivouac la veille. 

Cette construction est très simple, en fait ce modèle a probablement été un des premiers types de construction utilisés par l’humain pour se protéger des intempéries et est encore l’infrastructure d’un grand nombre d’abri. Emily, fidèle à son style d’imbriquer des éléments du milieu naturel à ses créations artistiques a utilisé du bois comme soutien et des végétaux herbacés pour le toit. Cela évoque les toits de chaume.

Cet événement est le résultat de la participation d’un grand nombre de personnes et d’organisations. En plus du Centre Clark qui nous a permis une activité sans désagrément en permettant l’accès de ses locaux sanitaires aux participants, il faut également mentionner Ruepublique. Ce groupe nous a prêter les tentes d’accueil utilisées par les ACDP et les Sept Castors. Leur aide ne s’est pas arrêter qu’à ça. En effet, leurs gens étaient sur le site dès 8h30 pour nous aider à monter les installations et certains se sont même proposer comme secrétaires de discussions pour le Symposium.

D’autres remerciements s’adressent à l’Éco-Quartier du Plateau pour le prêt de la brouette, laquelle nous a été des plus utiles pour transporter les déchets jusqu’au chemin. Nous n’oublierons pas non plus Opération Montréal.net qui nous a prêter le matériel pour effectuer le nettoyage. Non seulement nous prêtent-ils le matériel mais ils s’occupent de nous l’apporter et de le reprendre une fois l’événement terminé. Également une petite mention de sympathie aux éboueurs qui ont eu à composer avec des déchets lourds, encombrants difficile à manipuler et aussi dangereux.

Enfin, on ne peut passer sous silence la contribution déterminante de Barry Michalshyn et Guy Connolly qui ont participer à l’élaboration de l’événement (ainsi que de l’AGM du 5 juin) en termes de communication et de logistique. Sans eux, l’événement n’aurait pas eu lieu.